mercredi 8 avril 2009
Le fuselage
Le fuselage est construit en 2 demi-coquilles qui sont ensuite assemblées.
Une fois assemblé, je l'ai posé sur la partie centrale de l'aile... juste pour voir.
Et puis aussi pour préparer la pose et fixation du stabilisateur (partie fixe), par dessus lequel la dérive sera construite.
ça commence à prendre forme...
Voilà, l'armature de la pertie fixe de la dérive est construite, reste plus qu'à coffre tout ça.
Détail du système de commande de la roulette de queue. J'ai dû le créer pour positionner la roulette là où elle est sur le grandeur. En effet, sur le plan de construction, elle figurait dans l'axe de rotation de la dérive, alors qu'elle doit être à l'emplanture du stabilisateur.
l'axe est en CAP30, montée sur paliers bronze, et bloqué en translation par des bagues d'arrêt de roue.
On voit aussi les quicklinks de commande des volets de stab, qui sont guidés par des paliers taillés dans du tube. Les 2 quicklinks sont eux-même soudés sur de la CAP20 mise en forme, équipée d'un... bitogneau (j'ai perdu le nom exact) qu'on trouve habituellement sur les servos. Ce bitogneau est lui-même vissé-collé dans une tige carbone qui fait la liaison jusqu'à l'avant du fuselage.
dimanche 22 mars 2009
Le stab
Le stabilisateur est en structure, avec des nervures d'épaisseur 3mm donnant un profil symétrique. Folie de construction ou bêtise de néophyte, je n'ai pas suivi les préconisations de Laurent Buyssine (qui fait le coffrage en EP20) et j'ai coffré l'intrados en EP15, et l'extrados en EP10.
Le mastic gris que l'on peut apercevoir au niveau du saumon est un mastic Tamiya pour maquettes plastiques. A l'époque je n'avais pas encore découvert le fabuleux mastic Hoby Lite (disponible en 2 couleurs : blanc ou balsa), léger comme une plume, facile à travaillé une fois sec, et diluable à l'eau.
Ici la partie fixe et le volet de stab droit ont reçu 2 couches d'enduit nitrocellulosique qui durcit considérablement le balsa pour une prise de poids négligeable. Une grande partie de mon DC3 (et surtout le coffrage) sera donc traitée avec cet enduit. La pose d'Oracover n'est pas un souci sur une pièce traitée.
Les volets seront partiellement couverts avec du ruban d'alu adhésif pour créer une légère surépaisseur et créer ainsi un relief similaire au grandeur
Ici, un volet de stab terminé-entoilé. On aperçoit le relief (et je suis très fier du résultat puisque c'est une idée que j'ai eu sans en parler à personne).
Détails "maquette", le compensateur a été découpé du volet, légèrement rogné puis recollé et l'entoilage a été posé sur l'intégralité du volet.
La tige de commande du compensateur est faite de corde à piano aux extrémités de laquelle ont été collés 2 morceaux de carte plastique épaisseur 3mm (c'est un matériaux qui vient du maquettisme plastique statique). L'effet rendu me convient tout à fait.
Le mastic gris que l'on peut apercevoir au niveau du saumon est un mastic Tamiya pour maquettes plastiques. A l'époque je n'avais pas encore découvert le fabuleux mastic Hoby Lite (disponible en 2 couleurs : blanc ou balsa), léger comme une plume, facile à travaillé une fois sec, et diluable à l'eau.
Ici la partie fixe et le volet de stab droit ont reçu 2 couches d'enduit nitrocellulosique qui durcit considérablement le balsa pour une prise de poids négligeable. Une grande partie de mon DC3 (et surtout le coffrage) sera donc traitée avec cet enduit. La pose d'Oracover n'est pas un souci sur une pièce traitée.
Les volets seront partiellement couverts avec du ruban d'alu adhésif pour créer une légère surépaisseur et créer ainsi un relief similaire au grandeur
Ici, un volet de stab terminé-entoilé. On aperçoit le relief (et je suis très fier du résultat puisque c'est une idée que j'ai eu sans en parler à personne).
Détails "maquette", le compensateur a été découpé du volet, légèrement rogné puis recollé et l'entoilage a été posé sur l'intégralité du volet.
La tige de commande du compensateur est faite de corde à piano aux extrémités de laquelle ont été collés 2 morceaux de carte plastique épaisseur 3mm (c'est un matériaux qui vient du maquettisme plastique statique). L'effet rendu me convient tout à fait.
samedi 21 mars 2009
Capots moteurs
Dans sa construction, et fidèle à ses habitudes, Laurent Buyssine à prévu la construction en balsa pour les capots moteurs, avec la découpe de prismes de balsa épais puis mis en forme par ponçage. Cette solution ne me convient pas parce que je considère que la forme obtenue ne pourra pas être identique à celle de l'original. Qui plus est, l'intérieur du capot sera difficilement aménageable (à mon goût en tout cas)
Moi j'ai prévu de contruire un moule fibre à partir d'un master en balsa, pour pouvoir refaire des capots au besoin.
J'ai donc "fabriqué" un bloc de balsa de la taille adéquate.
Ensuite, vient une séance de "taille" pour arrondir un angle...
On arrondi le 2e angle, ça commence à faire pas mal de copeaux... L'outil indispensable, le micro rabot.
Ça y est, j'ai obtenu le cylindre... reste une tâche, et non des moindres, la mise en forme. Micro rabot et cale à poncer, et beaucoup d'huile de coude. Le résultat est pas mal.
Il ne reste "plus" que l'étape de finition, pour préparer l'état de surface pour en faire quelque chose de moulable, bien lisse et tout et tout. Direction une grande surface pour s'approvisionner en mastic de finition carrosserie. Encore quelques heures de masticage et de ponçage à sec puis à l'eau puis remasticage...
J'ai mis ce chantier sur "pause" et j'y reviendrais plus tard, avec d'autres photos.
Moi j'ai prévu de contruire un moule fibre à partir d'un master en balsa, pour pouvoir refaire des capots au besoin.
J'ai donc "fabriqué" un bloc de balsa de la taille adéquate.
Ensuite, vient une séance de "taille" pour arrondir un angle...
On arrondi le 2e angle, ça commence à faire pas mal de copeaux... L'outil indispensable, le micro rabot.
Ça y est, j'ai obtenu le cylindre... reste une tâche, et non des moindres, la mise en forme. Micro rabot et cale à poncer, et beaucoup d'huile de coude. Le résultat est pas mal.
Il ne reste "plus" que l'étape de finition, pour préparer l'état de surface pour en faire quelque chose de moulable, bien lisse et tout et tout. Direction une grande surface pour s'approvisionner en mastic de finition carrosserie. Encore quelques heures de masticage et de ponçage à sec puis à l'eau puis remasticage...
J'ai mis ce chantier sur "pause" et j'y reviendrais plus tard, avec d'autres photos.
samedi 7 mars 2009
La partie centrale de l'aile
C'est par elle que j'ai commencé la construction. La première photo a été prise alors qu'elle était déjà bien avancée, mais ça permet de voir la différence entre la structure de la nacelle droite et la nacelle gauche, entièrement coffrée.
Les couples et lisses de la nacelle droite ont été collés, après coffrage de l'extrados qui sera sous le coffrage définitif de la nacelle.
Voilà, la nacelle droite est entièrement coffrée, et la base de l'aile droite a été collée. Sur la photo suivante, un essai du phare d'atterrissage dans la pénombre (-ça en jette, hein ?-), réalisé avec une LED blanche haute luminosité + réflécteur.
La partie centrale évolue avec la la mise en place d'un connecteur 15 broches informatique qui permettra de faire passer les signaux suivants : Servo de train rentrant, Servos d'ailerons, Servos de gaz, Phares d'atterrissage, Feux de position. Une petite platine électronique faite maison permet le réglage de l'intensité de tous les feux et phares, séparément. Les connecteurs entre la partie centrale et la plume d'aile sont de type Futaba/JR, un mâle (servo d'aileron) et un femelle (feu de position à LED) pour les différencier.
Les couples et lisses de la nacelle droite ont été collés, après coffrage de l'extrados qui sera sous le coffrage définitif de la nacelle.
Voilà, la nacelle droite est entièrement coffrée, et la base de l'aile droite a été collée. Sur la photo suivante, un essai du phare d'atterrissage dans la pénombre (-ça en jette, hein ?-), réalisé avec une LED blanche haute luminosité + réflécteur.
La partie centrale évolue avec la la mise en place d'un connecteur 15 broches informatique qui permettra de faire passer les signaux suivants : Servo de train rentrant, Servos d'ailerons, Servos de gaz, Phares d'atterrissage, Feux de position. Une petite platine électronique faite maison permet le réglage de l'intensité de tous les feux et phares, séparément. Les connecteurs entre la partie centrale et la plume d'aile sont de type Futaba/JR, un mâle (servo d'aileron) et un femelle (feu de position à LED) pour les différencier.
samedi 28 février 2009
Technique : ma clé d'aile
Contrairement au plan original, et parce qu'une aile de 2m c'est pas forcément facile à transporter, j'ai décidé d'installer 2 clés d'aile pour la rendre démontable en 3 parties.
J'ai donc fait des clés d'aile en alu de chez Casto.
J'ai eu un gros travail pour faire coulisser les 2 tubes l'un dans l'autre : ponçage et polissage de l'extérieur pour l'un, l'intérieur pour l'autre. Le polissage est obtenu grâce à de la laine d'acier 000.
J'ai donc fait des clés d'aile en alu de chez Casto.
J'ai eu un gros travail pour faire coulisser les 2 tubes l'un dans l'autre : ponçage et polissage de l'extérieur pour l'un, l'intérieur pour l'autre. Le polissage est obtenu grâce à de la laine d'acier 000.
samedi 21 février 2009
Caractéristiques du grandeur
Moteurs :
2x Pratt & Whitney R-1830-S1C3G Twin Wasp 1200Cv
Performances :
- Vitesse maximale de croisière : 334km/h
- Plafond pratique : 23200ft (7070m)
- Rayon d'action : 3420km
Masse :
- A vide : 7650kg
- Maximale au décollage : 11430kg
Dimensions :
- Envergure : 28,95m
- Longueur : 19,64m
- Hauteur : 5,16m
2x Pratt & Whitney R-1830-S1C3G Twin Wasp 1200Cv
Performances :
- Vitesse maximale de croisière : 334km/h
- Plafond pratique : 23200ft (7070m)
- Rayon d'action : 3420km
Masse :
- A vide : 7650kg
- Maximale au décollage : 11430kg
Dimensions :
- Envergure : 28,95m
- Longueur : 19,64m
- Hauteur : 5,16m
Présentation du grandeur
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